ESCURETTE c'est le Cure-Oreille historique Zéro plastique ! Fabriquée de manière artisanale en Bretagne, l'Escurette est constituée de 3 parties : Le Manche, la Pelle et le Capuchon. Son manche et le capuchon sont en bois de Charme issu de forêts gérées Écologiquement et usiné à la tournerie du plat d’or, aux portes de la forêt de Brocéliande en Bretagne (Terre de légendes). Sa pelle est façonnée en Inox médical, par une entreprise spécialisée implantée dans l’orme (61). Pour que chacun s’y retrouve dans la salle de bain, le Cure-Oreille existe en plusieurs couleurs réalisées grâce à des pigments naturels.
Un geste pour la planète
Le Coton-Tige fait parti du TOP 5 des déchets que l’on retrouve le plus dans les océans. La loi antiplastique votée par l’union européenne prévoit l’interdiction des Cotons-Tiges en plastique depuis fin 2021. L’Éscurette, c’est zéro plastique ! Les matières premières sont Françaises et Respectueuses de l’environnement.
Un geste pour les oreilles
Délaissé au profit du Coton-Tige dans les années 60, le Cure-Oreille est pourtant utilisé depuis tout temps par les professionnels de la santé : Les ORL, infirmiers, puériculteurs ou aides-soignants s’en servent pour curer les oreilles de leurs patients. D’autres professionnels le recommandent aussi. Son efficacité n’est plus à démontrer !
Le saviez-vous ?
L'Escurette est née il y a bien longtemps à l’époque où les Cotons-Tiges n’existaient pas encore…L’Institut National des Études Archéologiques Préventives (INRAP) nous éclaire sur l’histoire du Cure-Oreille. En os, étain, plomb ou encore ivoire, on trouve trace dès l’Antiquité. À l’époque Gallo-Romaine, les nécessaires de toilettes comprenaient alors pince à épiler, cure-dent et cure-oreille en bronze. Au Japon, le curage d’oreilles appelé “mimikaki” (mimi : oreille, kaki : nettoyer) est un procédé familial ancestral. Tout comme en Inde, cette méthode se développe pour devenir une pratique professionnelle incontestée : on trouve alors des cureurs d’oreilles en instituts voire même dans les rues. Au Moyen-Âge, on disait que “toute femme bien organisée possédait sa fourgeoire, contenant l’escurette (Cure-Oreille), la furgette (Cure-Ongle) et le fusequoir (Cure-Dent)”. On dit alors que l’on escure (vb. escurer) l’oreille. Il est présent dans la majorité des foyers jusque dans les années 60 ou il est délaissé au profit du Coton-Tige. Le Cure-Oreille est pourtant utilisé depuis tout temps par les professionnels de la santé. Son efficacité n’est plus à démontrer : Escurette c'est la méthode historique zéro plastique !